L'introduction d'une ou deux journées de carence en cas d'arrêt maladie est une mesure scélérate.
Elle vise à culpabiliser les personnels et à les considèrer a priori comme d'odieux fraudeurs au lieu de prendre sérieusement en compte les raisons pour lesquelles un médecin est amené à considèrer qu'une personne n'est pas en mesure d'aller travailler. La souffrance et l'usure ne font-elles donc pas partie de nos réalités professionnelles ?
C'est pourquoi nous avons envoyé aux députés et sénateurs sarthois une lettre leur demandant de ne pas voter cette loi.
Elle est en pièce jointe.
A l'heure qu'il est nous n'avons pas encore eu de retour. Vous pouvez donc à votre tour vous servir du modèle et l'adresser à qui de droit.